Celtic : l’agent de Moussa Dembélé sort du silence

C'est l'effervescence autour de Moussa Dembélé. Auteur de 27 buts cette saison dont 7 rien que dans ce mois de février (dont deux triplés), l'avant-centre français de 20 ans cartonne au Celtic Glasgow, attisant la convoitise des plus grands clubs européens. Du Bayern Munich au Real Madrid en passant par Manchester City ou bien encore Chelsea, qui avait formulé une offre de 47 M€ à l'hiver, tous n'ont d'yeux que pour l'ancienne pépite du centre de formation du Paris Saint-Germain.

Son agent, Mamadi Fofana, fait le point pour le Daily Record : « Moussa ne stresse absolument pas. Il a signé pour quatre ans et, dans sa tête, il sera au Celtic pour quatre ans. S'il doit partir, ça arrivera en temps voulu mais ce n'est pas dans l'esprit de Moussa ni dans le mien. En janvier, il y a eu des rumeurs, et il y en aura toujours s'il fait les choses bien. C'est positif : ça veut dire que nous faisons tous les choses bien. Lui, le Celtic, et nous en tant qu'agents », explique son représentant, avant de poursuivre.

Pas de discussions avec le Celtic pour un départ de Dembélé

« Il est important de se concentrer sur ce qui compte vraiment. Moussa reste serein, il n'est pas affecté. Je ne pense pas à l'avenir, je ne me réveille pas le matin en pensant à la prochaine destination de Moussa à l'été. Le futur n'existe pas, le passé est déjà passé. Tout ce qui compte, c'est comment il doit devenir un meilleur joueur maintenant. Le plan avec Brendan (Rodgers, coach du Celtic), le club, et Moussa est privé, mais je peux vous dire qu'il va rester le même », analyse l'agent de l'ancien canonnier de Fulham. Et de conclure.

« Nous sommes là pour permettre au garçon de progresser, pour permettre au club de réussir encore plus de choses, et le club veut conserver ses meilleurs éléments. Si le Celtic veut vendre Moussa, la décision sera prise ensemble. Mais pour le moment, je ne peux pas être plus clair : il n'y a aucune discussion entre le Celtic et moi-même au sujet d'un départ cet été ou même en janvier prochain. On ne peut pas empêcher les gens de penser, de parler ». Et quand on connait le fonctionnement du mercato, nul doute que palabres il y aura encore...