Des nouvelles de… Gianfranco Zola

Par Khaled Karouri
2 min.
Zola est un admirateur du Barça @Maxppp

Nombreux sont les attaquants italiens à avoir marqué les esprits dans l'histoire du football. Parmi eux se trouve un certain Gianfranco Zola. Attaquant talentueux, l'ancien joueur a ensuite embrassé la carrière d'entraîneur.

Dans la série « Nous avons le même nom mais pas la même passion », Zola figure assurément en bonne position. Quand Émile écrivait Germinal, L’Assommoir ou bien encore Le ventre de Paris, Gianfranco lui enfilait les buts comme des perles. Mais qu'à cela ne tienne, à défaut d'être de la même famille et d'exercer le même métier, les deux hommes étaient de véritables esthètes dans leurs professions respectives. Et c'est ainsi que le footballeur italien débute sa carrière à Nuorese. Prometteur, l'attaquant gravit les échelons petit à petit, signant à Sassari Torres 1903 avant de prendre une autre dimension à Naples.

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Avec un bilan de 32 buts en 105 matches, le joueur se fait un nom et s'engage en faveur de Parme. L'occasion pour lui de confirmer toute l'étendue de son talent, et de voir un club étranger lui tendre les bras. Le natif d'Oliena rejoint donc Chelsea. 7 saisons durant, il en sera d'ailleurs l'une des coqueluches, étant sans contestation possible l'un des chouchous du public. Mais la belle histoire prend fin en 2003 et, après une dernière pige du côté de Cagliari, l'international transalpin (35 capes, 10 buts) raccroche les crampons en 2005.

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Mais pour les plus jeunes d'entre vous, Gianfranco Zola est avant tout un entraîneur. Après avoir occupé les fonctions d'adjoint en équipe d'Italie Espoirs, l'ancien buteur prend les commandes de West Ham deux saisons durant, confirmant son amour pour la Premier League. Et s'il n'a actuellement pas de club, le coach garde un œil avisé sur le monde du football, louant notamment les mérites du FC Barcelone : « Je vais répéter ce que tout le monde dit, à savoir qu'ils jouent très bien et sont agréables à voir jouer. La plupart des gens admirent le Barça parce qu'ils jouent vraiment bien. Conserver le titre en Ligue des Champions n'est pas simple, surtout pour une équipe comme le Barça, qui a tant gagné ». Comme le veut l'adage : « une fois au sommet, le plus dur est d'y rester ».

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