Insolites : les perles de la semaine

Par Quentin Siebman
2 min.
Tottenham Hotspur Sandro Ranieri Guimarães Cordeiro @Maxppp

En plein coeur d'un week-end de football chargé, retrouvez votre dose hebdomadaires d'insolite. Au programme cette semaine, l'étrange défi lancé à Sandro, des dirigeants de club piégés en caméra cachée et une drôle d'ambiance à un match de Fenerbahçe.

"La Bête" Sandro ne pleure jamais !

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En octobre dernier, Sandro, milieu de terrain de Tottenham déclarait qu'il ne pleurait jamais. Son club l'a pris au mot et a donc décidé de mettre "la Bête" au défi. Désormais, tous les moyens sont bons pour le faire pleurer sur le compte Youtube officiel du club. Première tentative : l'épilation des jambes à la cire. Le cauchemar de tout homme. Mais Sandro saura-t-il rester de marbre ?

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Fenerbahçe libère son côté féminin !

Le public du Fenerbahçe est probablement l'un des plus chauds d'Europe. Peut-être même un peu trop chaud parfois... Pour preuve, le club a décidé de suspendre tous ses supporters masculins le temps d'un match, considérant leurs chants trop grossiers ! C'est donc devant un stade rempli de femmes et d'enfants que le Fener s'est imposé face à Akhisar Belediye ce vendredi. Et si l'on en croit les images, l'ambiance n'a pas pâti de la sanction.

Fenerbahçe

Ils vendent l'âme de leur club à un (faux) milliardaire !

Depuis plusieurs années, de plus en plus nombreux sont les clubs sauvés ou portés sur le devant de la scène par de riches investisseurs, pour la plupart venus du Moyen Orient. Les clubs en difficulté rêvent donc forcément d'un tel destin... et sont apparemment prêts à tout. Piégés en caméra cachée par un faux Cheikh, les dirigeants de Den Bosch (D2 néerlandaise) ont même accepté de virer leur entraîneur, changer le nom et les couleurs de leur club, et même de refuser d’engager tout joueur… homosexuel. Une supercherie particulièrement embarrassante qui aura eu le mérite de faire rire les joueurs, comme le prouve le tweet de l'un d'eux accompagné d'une photo et du message suivant : « Nous sommes prêts pour le rachat ! »

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