Roy Keane comparé à... Saddam Hussein

Ce jeudi, Roy Keane publie la deuxième partie de son autobiographie, intitulée "The Second Half" (la deuxième mi-temps). Ouvrage dont les meilleures lignes ont déjà filtré après qu'une chaîne de supermarchés britannique ait "par erreur" mis en vente l'ouvrage en début de semaine. Dans ce nouveau livre assassin, l'ancien milieu de terrain de Manchester United revient notamment sur son tacle assassin, en 2001, sur le Norvégien de City, Alf-Inge Haaland, qui avait précipité la fin de carrière précoce de ce dernier : «Il y a des choses que je regrette dans ma vie, mais pas ça», a ainsi lancé l'Irlandais, s'attirant sans surprise les foudres, sur Twitter, de son ennemi juré : «Il ne faut pas prendre au sérieux les mots d'un homme portant la barbe de...», a ainsi écrit Alf-Inge Haaland, photo comparative de la pilosité de Roy Keane avec celle d'un certain Saddam Hussein à l'appui... Tweet rapidement supprimé par Alf-Inge Haaland, qui a posté quelques heures plus tard un message à destination des supporters des Red Devils, qui l'invectivaient sur le réseau social américain : «Désolé d'avoir supprimé mon dernier tweet. Mais je le devais. La famille de Sadam Hussein ne veut pas être associé à votre ancien leader.» Ambiance.

Messi célébré à Bernabéu, la presse pro-Barça en rêve

Se moquer du rival madrilène est un sport national en Catalogne. L'inverse est également vrai. Alors quand le président de la Ligue Professionnelle de Football, Javier Tebas, annonce qu'il est envisageable d'imaginer la LFP célébrer Leo Messi à Bernabéu, la presse pro-Barça est en émoi. À deux buts du record de Telmo Zarra, meilleur artificier de l'histoire de la Liga avec 251 réalisations, Leo Messi n'a besoin que de deux buts la semaine prochaine face à Eibar pour espérer être célébré, la semaine suivante, lors du Clasico. D'ici-là, l'idée lancée par Javier Tebas devrait faire couler beaucoup d'encre de l'autre côté des Pyrénées.

Le président de la fédé italienne suspendu !

«Opti Poba est arrivé ici et avant il mangeait des bananes, aujourd'hui il joue titulaire à la Lazio de Rome». Cette phrase lancée en juillet dernier par Carlo Tavecchio, alors en campagne pour la présidence de la fédération italienne (FIGC), avait mis le feu à la presse européenne, fort logiquement. Hier, l'UEFA a décidé de suspendre Carlo Tavecchio de toutes manifestations officielles de l'UEFA, ce qui fait forcément ce matin la Une de la presse italienne, tout comme l'intervention d'Antonio Conte dans le conflit médiatique opposant la Juventus à l'AS Roma depuis dimanche dernier.