Algérie : le coup de gueule de Marc Wilmots

Par Mathias Pisana
1 min.

Mais qui succédera à Milovan Rajevac à la tête de la sélection algérienne ? Les dirigeants des Fennecs, sans sélectionneur depuis la démission du Serbe le 11 octobre dernier, s'activent à trouver l'entraîneur idéal pour reprendre en main une sélection qui vacille. Et alors que la piste menant au Belge Marc Wilmots semblait la plus concrète, ce dernier aurait finalement refusé le poste, estimant la proposition la proposition salariale pas assez alléchante.

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Une version contredite par l'ancien sélectionneur des Diables Rouges. «Je n'ai jamais parlé argent avec la Fédération algérienne», s'est ainsi défendu à la RTBF celui que l'on surnomme Le Taureau de Dongelberg. Et d'ajouter, visiblement ulcéré par ces rumeurs : «J'en ai assez qu'on me résume sans cesse à un homme qui ne pense qu'à l'argent. Et dans l'immédiat, je préfère travailler avec un club plutôt qu'avec une équipe nationale.» Le message a le mérite d'être clair.

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