Successeur de Jean Fernandez à la tête de l’AS Nancy-Lorraine, Patrick Gabriel refuse de jeter l’éponge. Contrairement à ce que les observateurs pouvaient annoncer dès cet hiver, le nouvel entraîneur semble encore croire dur comme fer aux chances de maintien de son club. C’est en tout cas ce qu’il a laissé transparaître, dans un entretien accordé à L’Est Républicain.
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« Notre chance, c’est qu’on était déjà condamné à la L2 en janvier compte-tenu du retard et de ce qui s’est passé au mercato. Mais nous sommes aujourd’hui fin mars et nous ne sommes pas morts, bien au contraire. On comble notre retard pas assez vite à mon goût, mais on le gomme tout de même en grattant des points. L’avantage, c’est que nous gardons notre destin entre nos mains à neuf matches de la fin. On s’en sortira si on prend beaucoup de points. C’est pour ça qu’on ne doit pas regarder les résultats des autres, nous devons rester concentrés sur nous-mêmes », assure le technicien. Un message adressé aux joueurs?
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