Cyril Jeunechamp dérape encore

Par Aurélien Léger-Moëc
1 min.

Cyril Jeunechamp a beau avoir bénéficié d’une réduction de sa suspension (passée de 1 an à 6 mois fermes +6 mois avec sursis pour avoir frappé un journaliste de L’Équipe), il ne digère toujours pas sa sanction. « À la base, je n’étais pas parti dans l’idée de l’attraper, je voulais qu’on ait une explication. Mais il m’a pris de haut. "Faut lire entre les lignes, etc". Quand j’ai vu qu’il commençait à me prendre pour un con, dans ma tête, ça a commencé à tourner. Et c’est parti. Ce n’est pas un véritable coup, c’est pas vraiment un coup de poing pour faire mal, un coup de poing de boxeur. C’est plus un mauvais geste dans l’élan qu’autre chose. Parce que quand on me dit fracture du nez, franchement, j’aimerais bien voir… Si vraiment j’avais voulu lui mettre un coup de poing, c’est pas quatre jours d’ITT qu’il aurait eu, tu peux me croire », a-t-il assuré à So Foot.

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Les remords ne l’étouffent pas, c’est une certitude. Il ne décolère pas non plus à l’encontre de Pierre Ménès, l’un de ses détracteurs réguliers. « T’as fait quoi dans le football, toi? Ce mec, c’est un mange-bite des mecs d’Arsenal. Les Henry, Pirès et tout ça. Et maintenant, c’est le clown du Canal Football Club. Il dit deux, trois phrases, les mecs rigolent, ça leur fait de l’audimat et tout le monde est content ». Décidément, entre Barton et Jeunechamp, Ménès a de quoi faire !

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