Quand Toulalan compare Paris et Lyon à Monaco

Par Richard Rizza
1 min.

Le milieu de terrain de l’ASM, recruté l’été dernier à Malaga pour 5 M€, a été l’un des meilleurs joueurs de son équipe cette saison. Et si la pression ne vient pas forcément des tribunes, Toulalan avoue qu’elle est activée, en coulisse, par la direction russe du club.

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«La pression du résultat est forte ? Avec les Russes, oui, bien sûr. Durant la première partie de saison, on a été convoqués, les cadres, et Vadim Vasilyev (le vice-président) n’a pas rigolé : on n’a même pas eu le temps de parler. Il a dit ce qu’il avait à nous dire et il est parti.» Dans ses propos dans L’Equipe, le joueur de 30 ans s’est mis à comparer les directions parisiennes, lyonnaises et monégasques : «J’ai l’impression que les Qatariens ont une autre approche : ils sanctionnent, mais après. Les Russes sont plus impatients, plus directs, ils ne prennent pas de gants. A Lyon, le président Aulas était plus arrondi.»

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