Il est sans l'ombre d'un doute le joueur qui représente au mieux les années de gloire de l'Olympique Lyonnais, de 2001 à 2008. Le bourreau d'Oliver Kahn garde ainsi une cote d'amour très élevée dans le Rhône et reste en permanence en contact avec le club lyonnais, plus particulièrement avec son président Jean-Michel Aulas, avec qui il est très proche. Cela n'empêche pas le finaliste de la Coupe du Monde 2006 à mettre des bâtons dans les roues de son ancien président, qui se fait plus remarquer, actuellement, sur la toile que pour les affaires de son club.
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« Si je n’avais pas été lyonnais, avoir un président qui m’aurait fait du Jean-Michel Aulas dans une équipe extérieure, je ne suis pas sûr que j’aurais aimé. Il faut le reconnaître », a-t-il déclaré sur Larqué Foot, sur RMC. Avant de tempérer ses propos : « Mais quand tu es à Lyon et que c’est ton président qui te défend tout le temps, qui défend ses joueurs, ses supporters... Il s’expose même à l’excès pour qu’on laisse son équipe, on ne peut que s’en féliciter. Cette présence médiatique fait qu’on laisse Hubert Fournier travailler tranquillement, on enlève beaucoup de pression aux joueurs. Il joue son rôle. »
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