Auteur de 15 buts en Ligue 1 depuis le début de la saison, le rendement offensif d'Edinson Cavani est fréquemment pointé du doigt. Zlatan Ibrahimovic blessé, l’Uruguayen n'a toujours pas repris le flambeau et endossé la responsabilité d'animer l'attaque parisienne.
Ce qui lui reproche Eric Carrière : «Il a eu des difficultés physiques et personnelles depuis le début de l’année civile. Mais il n’est pas à la hauteur de ce qu’on attend de lui. Ibra, même quand il n’est pas bon, use les équipes adverses par sa simple présence physique. Ce qui n’est pas le cas de Cavani. Les Parisiens doivent apprendre à jouer différemment. Ils s’étaient habitués au jeu d’Ibra, qui était à la fois buteur et remiseur. Avec lui, cette équipe excellait dans les attaques placées. Or Cavani n’a pas les mêmes caractéristiques. Il joue dans la profondeur, fait des appels. Ce n’est plus le même type d’animation offensive», explique le consultant de Canal+. La finale de la Coupe de la Ligue samedi (21h) face à Lyon semble l'occasion rêvée de rebondir.
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