En virant Claude Robin deux mois seulement après l'avoir intronisé, Troyes en a surpris plus d'un. Mais pour le président de l'ESTAC, Daniel Masoni, cette décision a été dure, mais logique à prendre.
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«J’ai réfléchi longuement cette nuit, ça a été une nuit sans sommeil. Le contenu et le coaching du match contre Guingamp m’ont complètement déplu. Je me devais de protéger le club, les joueurs et l’entraîneur. Il ne fallait pas que je laisse déraper les choses et qu’il se retrouve sous le feu des critiques. Ç'a été une décision très dure. Je ne suis pas formaté pour licencier des gens ou les enlever de leur poste», a-t-il indiqué à lequipe.fr.
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