Bayern Munich : Kingsley Coman dévoile les clés de son retour en force

Un changement d'entraîneur et ça repart ! Carlo Ancelotti remercié après un début de saison mitigé, le Bayern Munich a décidé de rappeler un ancien de la maison, Jupp Heynckes, pour se relancer. Et l'effet est immédiat, puisque, depuis sa nomination officielle, le 6 octobre, les Bavarois ont remporté leurs trois matches. Kingsley Coman (21 ans), lui aussi, va beaucoup mieux. Moins en vue sous Ancelotti, l'attaquant français retrouve un temps de jeu conséquent, et il l'utilise à bon escient.

Forcément, au cours d'un entretien accordé au site officiel de la Bundesliga, l'international tricolore (14 sélections, 1 but) a apprécié. «Le coach est toujours ouvert aux discussions. Il demande beaucoup et il attache une grande importance à la discipline et à l'assiduité. Je prends beaucoup de plaisir à travailler avec lui. D'ailleurs, je comprends désormais presque tout en allemand. Je me sens parfaitement intégré. J'essaie de lui rendre sa confiance avec de bonnes performances», a-t-il lancé avant de poursuivre.

Enfin à 100% !

«Mon jeu nécessite une condition physique optimale et depuis quelques semaines je me sens à 100%», a-t-il affirmé, lui qui a longuement été blessé la saison passée. «Je me sens à la maison à Munich depuis un certain temps. Bien sûr, ma situation personnelle est différente de celle de l'année dernière. Je sais que je dois enchaîner les matches pour m'améliorer et développer mon potentiel. C'est le cas en ce moment. Mais il est important de prouver cela match après match», a-t-il expliqué.

Pour autant, l'ancien pensionnaire du Paris SG, 1 but et 2 passes décisives au compteur en championnat, ne se contente pas de ça. Il veut faire encore mieux et sait sur quels axes de travail insister pour y parvenir. «Dans les situations de un-contre-un, je sais mieux jouer sur mes qualités mais je sais aussi que je dois m'améliorer pour être plus précis face au but. Mais je travaille dur et ça va payer», a-t-il conclu. Une bonne nouvelle pour Didier Deschamps et l'équipe de France, aussi.