La situation économique de l'Atlético Madrid inquiète. Le salut pourrait venir de l'Empire du Milieu.
Cet été, l'Atlético Madrid s'est offert un mercato de luxe, en dépensant près de 95 M€ pour accueillir Antoine Griezmann, Mario Mandzukic, Raul Jimenez, Miguel Moya, Guilherme Siqueira, Alessio Cerci, Jan Oblak ou Jesus Gamez. Seulement, les champions d'Espagne en titre ne roulent pas pour autant sur l'or... Pire, leur dette fiscale est la plus importante du royaume.
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Selon les informations du quotidien espagnol El Pais, les Colchoneros doivent 107 M€ au fisc espagnol. Une somme qui représente plus d'un tiers du montant cumulé dû par l'ensemble des clubs de Liga au Trésor Public local (301,8 M€), quand le Real Madrid, le FC Barcelone, Villarreal, le FC Valence ou encore l'Athletic Bilbao sont à jour dans leurs paiements. Pour ne pas avoir la tête sous l'eau, les Madrilènes ont demandé un échelonnement de leur remboursement.
Un investisseur chinois à la rescousse ?
En attendant peut-être de trouver des nouvelles ressources... D'après Marca et El Confidencial, l'Atlético devrait ouvrir son capital à Wang Jianlin, président du Dalian Wanda Group et deuxième personne la plus riche de Chine dont la fortune est estimée à 16,2 milliards d'euros par le magazine américain Forbes. Il devrait devenir actionnaire du vice-champion d'Europe 2014 à hauteur de 20% et injecter des liquidités bienvenues.
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Par le passé, l'homme d'affaires chinois a tenté d'investir au FC Valence, à Villarreal, à Southampton ou encore à l'AS Roma, preuve de son amour pour le football. Il pourrait enfin parvenir à ses fins avec les pensionnaires du Vicente Calderon. Une aubaine pour l'Atlético Madrid qui espère ainsi pouvoir assainir des comptes qui, à l'image de ceux du football espagnol dans son ensemble, sont dangereusement dans le rouge...
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