Real Madrid : le gros coup de gueule de Cristiano Ronaldo

Par Matthieu Margueritte
2 min.
Real Madrid CF Cristiano Ronaldo dos Santos Aveiro @Maxppp

Alors que le Real Madrid fêtait le trente-troisième titre de champion d'Espagne de son histoire, Cristiano Ronaldo a poussé un sacré coup de gueule. Le Portugais n'a pas apprécié que son intégrité soit remise en cause.

Cinq ans après, le Real Madrid peut à nouveau célébrer un titre de champion d'Espagne. Vainqueurs 2-0 sur le terrain de Malaga, les Merengues ont assuré le trente-troisième sacre de leur histoire, mettant ainsi un terme au règne du FC Barcelone. Un triomphe largement fêté par les hommes de Zinedine Zidane qui rêvent désormais d'enchaîner avec une victoire en Ligue des Champions le 3 juin prochain contre la Juventus. Mais si l'ambiance était joyeuse à l'issue de la rencontre disputée en Andalousie, Cristiano Ronaldo n'a pas manqué l'occasion de pousser un coup de gueule.

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La raison ? À l'heure où des histoires de “maletas” (des équipes sont soupçonnées de donner des récompenses à leurs adversaires pour obtenir un résultat favorable) rythment traditionnellement les fins de saison en Liga, le Portugais n'a pas apprécié que son nom soit impliqué dans ces rumeurs. En clair, CR7 a été interrogé sur une scène où des images le montrent en train de mimer une “maleta” (mallette) au défenseur argentin du Celta Vigo Gustavo Cabral, laissant penser qu'il reproche au Sud-Américain d'avoir reçu une récompense du Barça pour que le Celta remporte son match (décisif pour le titre). Une question qui a mis le Lusitanien hors de lui.

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«Ça me dérange quand les gens parlent de moi alors qu'ils ne savent rien. C'est pour ça que je ne lis pas la presse et ne regarde pas la télévision. Sinon, je n'aurais pas de vie. Les gens ne connaissent pas la réalité et parlent de moi comme si j'étais un délinquant qui ne fait pas bien les choses. Quand ils parlent de Cristiano Ronaldo, les gens se trompent. Les critiques sur mon jeu ne me dérangent pas parce qu'au final les gens finissent par se taire. Mais, de manière générale, quoi que je fasse, je suis critiqué. Je ne suis pas un saint, mais je ne suis pas un diable non plus. J’ai une famille, une mère, un fils.» C'est dit !

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