Et si les Girondins de Bordeaux étaient à nouveau rachetés un an et demi après la prise de pouvoir par GACP et King Street ? C'est ce qui pourrait se passer si on en croit les informations venant de l'ouest de la France.
Depuis quelque temps, c'est un immense bazar du côté des Girondins de Bordeaux. En effet, depuis le rachat du club il y a un peu plus d'un an, deux idées s'affrontent au sein de l'instance dirigeante. D'un côté le médiatique Joe DaGrosa, tête d'affiche de GACP, espère faire grimper le club en le faisant investir sur le marché des transferts, quand le principal actionnaire, King Street et le président du club, Frédéric Longuépée, entré en fonction en janvier dernier, préfèrent miser sur le marketing et céder des joueurs.
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Ces derniers temps donc, la lutte intestine a pris d'autres allures. Le divorce entre King Street l'actionnaire majoritaire (86%) et GACP (14%) semble consumé et il était question, ces derniers jours que le premier rachète les parts du second. Ce qui aurait donc poussé vers la sortie Joe DaGrosa et Hugo Varela, le conseiller du premier, qui a convaincu Paulo Sousa de rejoindre la Gironde après le fiasco Gustavo Poyet. Sauf que rien ne semble sentir bon pour les fans de Bordeaux.
L'ambassadeur des Girondins en Suisse veut racheter le club
En effet, King Street devrait promettre une cure d'austérité et le mercato de janvier devrait être sage dans le sens des arrivées alors que dans le sens des départs, cela devrait être plus mouvementé. Il se pourrait, en revanche que le club soit à nouveau cédé. Si on en croit les informations de Ouest France, un homme se serait manifesté pour racheter les Girondins de Bordeaux et c'est une personne qui connaît visiblement assez bien le club.
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Il s'agirait de Bruno Fievet, un homme d'affaires franco-suisse de 50 ans qui a fait fortune dans la gestion de grandes fortunes en Suisse et au Moyen-Orient, et qui est déjà proche des Girondins puisqu'il est ambassadeur du club en Suisse depuis août 2017. D'après les informations du plus grand quotidien régional de l'Hexagone, il serait prêt à injecter la somme de 100 M€ (entre le rachat du club et les investissements) quand le rachat avait déjà coûté 80 M€ aux précédents acquéreurs. Mais pour que tout cela devienne réalité, il faudra dénouer l'actuel sac de noeuds à la tête du club et s'assurer que King Street est bien vendeur...
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