Nouveau naufrage pour l’OL !

Par Alexandre Pauwels
1 min.
Olympique Lyonnais @Maxppp

Montpellier a remporté son duel d’équipes malades face à l’OL, et avec la manière. Au terme d’un match décousu, les Pailladins se sont imposés sur le score large de 5-1, Cabella et Montaño s’offrant chacun un doublé. Pour les Lyonnais, rien ne va plus…

C’était un match d’équipes mal en point. Entre deux des six derniers champions de France, désormais rentrés dans le rang. L’OL, qui n’avait remporté qu’un seul de ses 10 derniers matches, se déplaçait cet après-midi sur la pelouse de Montpellier, qui restait sur cinq nuls consécutifs. Comme il est coutume de dire dans ces cas-là, « malheur au vaincu. » Mais c’est encore allé au-delà pour les Lyonnais, finalement défaits sur le score humiliant de 5-1.

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D’entrée mis en difficulté par les Pailladins, les hommes de Rémi Garde ont cédé pour la première fois au quart d’heure de jeu, Montaño terminant alors un joli jeu en triangle dans la surface adverse (1-0, 16e). Si l’OL a tenté de réagir, Gomis et Briand sollicitant tour à tour Jourdren, il a pris un gros coup sur la tête juste avant la pause, étant puni pour son laxisme en défense par un but de Mounier sur corner (2-0, 45e). Lacazette entretiendra le doute d’un match équilibré avec une réalisation à la reprise (2-1, 47e), mais l’OL sombrera complètement par la suite.

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Cabella convertira en premier lieu un pénalty logique concédé par Lopes (3-1, 59e), avant de s’offrir quelques minutes plus tard le doublé en remportant son face à face avec le portier lyonnais (4-1, 67e). Dans la foulée de ce but, Montaño marquera encore, pour clôturer le score (5-1, 68e). Comme pour accentuer l’idée de naufrage, Gonalons, capitaine olympien, sera expulsé en fin de rencontre (83e). Grâce à ce succès, Montpellier met fin à sa période de disette, et tient peut-être un match référence pour avancer. Tout le contraire de Lyon, qui, en plus de s’inscrire à une énigmatique 13e place au classement, ne peut désormais nier la crise. Oui, rien ne va plus chez les Gones.

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