PSG : Laurent Blanc égratigne sérieusement la presse !

Par La Rédaction FM
2 min.
PSG @Maxppp

Tension, agacement, irritation, frustration... Autant de mots qui pourraient décrire parfaitement l'ambiance qui régnait dans le cadre de la conférence de presse tenue ce samedi après-midi par Laurent Blanc, se sentant visé par les médias.

C'est LE match de cette treizième journée du championnat de France. Dimanche soir, à 21h00, le Paris Saint-Germain accueille l'Olympique de Marseille, pour une affiche opposant les deux premiers du championnat. Une rencontre forcément à part, tant la rivalité entre les deux clubs est grande. De quoi instaurer une certaine forme de tension dans la capitale, et Laurent Blanc ne semble pas y échapper. En tout cas, à en juger sa conférence de presse du jour, le coach francilien est un brin agacé.

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Lassé par les critiques dont il fait l'objet, et son absence présumée d'autorité sur les cadres du groupe tels que Zlatan Ibrahimovic, l'homme à la touillette a décidé de laisser parler sa frustration face aux médias : « Pour ce qui est de Zlatan, demandez-lui, vous saurez s’il joue demain. On a l’impression qu’à Paris, l’entraîneur ne sert à rien, c’est donc Ibra qui décidera tout seul. La tendance est plutôt positive, mais là encore il faut confirmation, il y aura confirmation avec les joueurs. C’est peut-être les joueurs qui décideront... » Agacé, vous a-t-on-dit.

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Une irritation palpable, qui va le suivre tout au long de la conférence, lui qui va multiplier les attaques envers les médias : « On connaît le PSG, c’est l’un des plus grands clubs en France, l’un des meilleurs en Europe. Il vaut mieux taper sur le PSG que sur d’autres clubs, ça fait plus de bruit, plus de buzz. À ce moment-là, vous n’hésitez pas, c’est la vie. L’an dernier, il n’y a rien eu à dire même si vous étiez dans les starting-blocks, cette année c’est moins ça. On est en train de revenir dans une bonne dynamique. Travaillons et atteignons les objectifs que nous nous sommes fixés ». Des objectifs à atteindre pour enfin avoir droit à un minimum de reconnaissance, celle-là même qui, « dans ce métier-là, n'arrive jamais », soupire Blanc...

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