Un prétendant prend la main pour le retour d'Andy Delort en L1 !

« Je suis champion du Mexique mais j’ai un peu l’impression qu’il manque un bout de bonheur. (...) Ma femme et mon fils ont un peu de mal à s’adapter à la vie au Mexique ». En début de mercato, Andy Delort (25 ans) confiait au Midi Libre ses états d'âme sur sa situation au Mexique, chez les Tigres. Dès lors, une multitude de clubs de Ligue 1 se sont penchés sur son cas. Rennes d'abord. Puis Lorient, l'Olympique de Marseille et l'AS Saint-Étienne. Les deux premiers n'ont pas été plus loin dans les discussions. Les Vertes, eux, semblent avoir tiré un trait sur cette piste, comme l'expliquait Christophe Galtier à RMC ce mardi.

« Il y a très peu de chance. Le club mexicain veut un transfert pour récupérer son investissement. Je le comprends. Je sais qu’Andy fera des efforts sur le plan financier mais il y a aussi un club qui a acheté un joueur l’été dernier et qui n’a pas envie de faire des efforts. Nous, si on ne peut pas, on ne peut pas. Mais il y a la volonté de la part de mes dirigeants, du club, de renforcer notre secteur offensif », avouait-il, regrettant l'impossibilité de conclure l'opération sous la forme d'un prêt.

Toulouse passe aux choses sérieuses

Un club, lui, est toujours en piste. Et il est même en pole position. L'Équipe assure dans son édition du jour que Toulouse a pris l'avantage dans ce dossier. Sous l'impulsion de Pascal Dupraz, qui a vu ses prérogatives élargies en matière de recrutement, le TFC a transmis une offre à hauteur de 5 M€ aux Tigres et un salaire de 150 000€ par mois à l'ancien du Stade Malherbe de Caen. Des propositions qui pourraient faire l'affaire.

Les pensionnaires du Stadium vont devoir faire un dernier effort dans ce dossier, pour éliminer un dernier concurrent. Le quotidien sportif ajoute en effet qu'un club de Serie A serait disposé à mettre 6 M€ sur la table pour le buteur. Seulement, le club de la Ville rose a pour lui l'envie du joueur de revenir en France. De quoi aller au bout du dossier ? Pascal Dupraz croise les doigts.