Le Paris SG s'est incliné ce vendredi soir à Toulouse (2-0, 7ème journée de L1). Un résultat qui fait assurément tâche, mais certains Franciliens comme l'entraîneur Unai Emery préféraient remettre en cause l'arbitrage.
Et de deux. Pour la deuxième fois en sept matches de Ligue 1, le Paris Saint-Germain s'est incliné, perdant pied sur la pelouse du Toulouse Football Club vendredi soir, en ouverture de la septième journée du championnat de France (2-0). Après avoir trébuché à Monaco au cours de la troisième journée (3-1), c'est cette fois dans la Ville rose que les quadruples champions de France de rang ont rendu les armes, incapables de prendre à défaut le bloc défensif des Pitchounes. Un coup dur pour les Franciliens, lesquels étaient réduits à dix juste après la pause suite à l'exclusion de Serge Aurier.
Un fait de jeu qui, s'il ne souffre a priori d'aucune contestation, passe mal auprès d'Unai Emery. Ce dernier, au micro de beIN Sports à l'issue de la rencontre, a ainsi purement et simplement estimé que le carton rouge et le pénalty accordés sur cette action étaient de trop : « Le pénalty est la clé du match. L’arbitre a sifflé alors que les deux joueurs étaient à la lutte. Il a sifflé beaucoup de fautes pour Toulouse, a sorti le carton (rouge) pour nous. Je crois qu’il n’a pas été bon », a ainsi lancé le technicien basque, préférant placer cette défaite sur le dos de l'arbitrage. Des propos qui ont fait mouche auprès de ses joueurs, à l'image d'un Thiago Silva partageant l'analyse.
« Toulouse a fait un bon match mais c’est difficile de parler des arbitres. C’est difficile parce qu’au début du match, il demande beaucoup de respect et après il ne respecte pas. C’est difficile de parler avec les arbitres », a-t-il déclaré en zone mixte, relayé par RMC, avant cependant de se reprendre et de vanter les mérites d'une vaillante et inspirée équipe toulousaine : « Toulouse a fait un très bon match. On a conscience qu’on peut faire mieux », a conclu le capitaine du Paris Saint-Germain. Encore faut-il le prouver dans les faits désormais.
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