PSG : Aulas dénonce un vice de forme sur le retour de suspension d'Ibrahimovic

Par Maxime Barbaud
2 min.
Olympique Lyonnais @Maxppp

A l'heure où le sprint final est lancé, tous les coups sont permis. Le dernier en date étant celui de Jean-Michel Aulas. D'après le président de Lyon, Ibrahimovic ne pourrait pas jouer demain avec le PSG face à Nantes pour un vice de procédure dans sa réduction de suspension.

Alors qu'Ibrahimovic a purgé ses trois matches de suspension, le Suédois doit ce dimanche (21h) retrouver les pelouses de Ligue 1 à Nantes. Oui, mais Jean-Michel Aulas vient ajouter son grain de sel. Selon le Président d'un OL, co-leader de la Ligue 1 avec le PSG, a assuré au micro d'Infosport + que toutes les instances juridiques n'avaient pas été saisies. Il y a donc un problème de procédure. Ibrahimovic ne devrait pas jouer demain à La Beaujoire.

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«Inévitablement, il ne peut pas être qualifié. Pour moi et les juristes, il ne peut pas jouer demain. Il y a un vice de forme. Nantes va l'exploiter, c'est certain. S'il y a une réserve, le PSG aura match perdu évidemment puisqu'il n'est pas qualifié selon moi. La commission de discipline est souveraine, il n'y a pas eu de commission d'appel. Le CNOSF va recevoir lundi une opposition à ce qui a été décidé» s'est ainsi exprimé Jean-Michel Aulas.

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Kita pas d'accord avec Aulas sur l'action à mener

Si JMA se veut confiant quant à la réclamation de Nantes, Waldemar Kita n'est pas du même avis et refuse de suivre les conseils du président de l'OL. «C'est à moi de prendre la décision. Avec ou sans Zlatan, l'équipe est tellement forte que je n'ai pas besoin de ça. Une décision a été prise, je la respecte et je ne tenterai aucune action auprès de la Ligue», a-t-il réagi sur Infosport +. En effet, en l'absence d'Ibra, le PSG a marqué 12 buts en trois rencontres de Ligue 1.

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Pour rappel, Ibrahimovic avait été initialement suspendu quatre matches à la suite de ses propos injurieux envers le football français et les arbitres à Bordeaux. Cette suspension avait ensuite été réduite à trois matches sur proposition du CNOSF et validée par le bureau de la LFP, à l'unanimité des voix, sauf une... celle de Jean-Michel Aulas.

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