PSG : le coup de gueule de Laurent Blanc contre les instances du foot français !

Par Matthieu Margueritte - Léo Vanpoulle
2 min.
PSG Laurent Blanc @Maxppp

En conférence de presse à la veille de la finale de la Coupe de la Ligue, Laurent Blanc a réglé ses comptes avec les instances dirigeantes du football français, coupables selon lui de ne rien faire pour aider le PSG.

L’heure est aux mises au point au Paris Saint-Germain. Suite à la décision de la Commission de discipline de la Ligue de Football Professionnelle de sanctionner Zlatan Ibrahimovic de quatre matches fermes de suspension pour ses propos injurieux envers l’arbitre et le foot français, le club de la capitale a décidé de riposter. Après un premier communiqué publié en fin de matinée sur le site officiel des Rouge et Bleu, c’est ensuite Laurent Blanc qui a pris la parole cet après-midi en conférence de presse.

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Avant la finale de Coupe de La Ligue ce samedi au Stade de France entre le tenant du titre francilien et le Sporting Bastia, le Cévenol est sorti de sa réserve pour mettre les choses au point vis-à-vis des instances dirigeantes du football hexagonal, sans doute encore échaudé par le refus d’aménagement du calendrier réclamé par le club. « Je vois qu’on a des situations qui font que personne ne nous aide. Mais on n’attend de l’aide de personne en même temps. Il y a des situations qui font que la jalousie est très présente dans ce pays. On jalouse ceux qui ont des moyens » , déplore l’ancien sélectionneur des Bleus.

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Et de poursuivre son explication, prenant pour argument le cas de Marco Verratti, victime selon lui d’une sorte de "délit de sale gueule" de la part du corps arbitral tricolore. « Par exemple Marco Verratti, sur les cinq derniers matches il a pris cinq cartons jaunes, en faisant une faute par match. On se dit qu’il y a certainement des choses dites, que dès que Verratti fait une faute, on lui met un carton. Quand on dit que le PSG est favorisé parce qu’il a des moyens, je crois que c’est faux. Ici en France, on n’aide pas les gens qui réussissent. Il faut en prendre acte. » À bon entendeur...

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