PSG : Emery ouvre la porte à d'autres départs et arrivées !

Par Matthieu Margueritte - Alexis Pereira
2 min.
PSG Unai Emery Etxegoien @Maxppp

Interrogé en conférence de presse, l'entraîneur du Paris SG Unai Emery a répondu aux questions sur la fin du mercato.

Le 31 août, à minuit, le marché des transferts fermera ses portes en Ligue 1. Jusqu'à ce moment fatidique, le Paris SG restera sur ses appuis, prêt à intervenir, dans tous les sens, les départs comme les arrivées. Unai Emery lui-même l'a affirmé ce vendredi, en conférence de presse, au centre d'entraînement Ooredoo. «Dans toutes les grandes équipes où j'ai entraîné, je n'ai jamais fermé les portes du mercato avant le 31 août. C'est pareil ici. Jusqu'au 31 août, tout est possible, dans le sens des départs comme des arrivées. Si on peut améliorer l'équipe, je ne ferme pas la porte», a-t-il lâché, laissant donc la porte ouverte à toute sorte de mouvements.

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Pour autant, le technicien espagnol a réaffirmé sa volonté de ne pas perdre Blaise Matuidi (29 ans), courtisé avec insistance par la Juventus Turin ces jours-ci. «Je veux les meilleurs joueurs avec moi, je veux qu'ils restent. Je ne crois pas que nous soyons trop. Des joueurs sont partis (Sirigu et Bahebeck ont trouvé preneurs, Stambouli va suivre). D'autres vont redescendre avec la CFA. (...) Pour Matuidi, je me suis expliqué la semaine dernière. Le président l'a dit, il a un contrat avec le club et je veux qu'il reste ici», a-t-il martelé. Pour l'Ibère, les choses sont donc on ne peut plus claires.

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Il a même lancé un message enflammé à ses joueurs, au sujet de sa gestion de la concurrence. «La concurrence est très importante, c'est important d'avoir au moins deux joueurs par poste. Le meilleur jouera. Je veux que les joueurs soient motivés et donnent tout. C'est moi qui déciderai ensuite qui joue. Si certains s'énervent parce qu'ils ne jouent pas, tant mieux. Ils devront démontrer sur le terrain, quand ils en auront la possibilité, que j'ai tort. La concurrence, c'est mieux pour les joueurs, pour l'équipe», a-t-il conclu. Le message est clair. À bon entendeur.

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