PSG, Rabiot : les parties se rendent coup pour coup !

Par Matthieu Margueritte
2 min.
PSG Adrien Rabiot @Maxppp

Le dossier Adrien Rabiot est loin d'être clos. Alors qu'un départ vers l'AS Rome semblait se confirmer, Le Parisien indique que l'affaire est semée d'embûches.

La partie de poker menteur est lancée. Lié au Paris Saint-Germain jusqu'en juin 2015, Adrien Rabiot est plus que jamais proche de la porte de sortie. En dans ce dossier où chacun aime contredire les vérités annoncées, la seule certitude c'est que le milieu de terrain parisien ne souhaite pas prolonger son contrat. Un choix qui a déplu à ses dirigeants, et surtout à Laurent Blanc qui apprécie son profil. Obligé de reconsidérer le cas de son joueur, Paris s'est donc décidé à le vendre.

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Dernièrement, l'AS Rome semblait d'ailleurs s'être entendu avec le club de la capitale sur les bases d'un transfert estimé à 15 M€ (13 M€ fixes + 2 M€ de bonus). Ce matin, L'Équipe confirme même que le principal intéressé s'est mis d'accord avec les Giallorossi. Tout semblait réglé donc. Mais dans ses colonnes, Le Parisien nous livre une version quelque peu différente dans laquelle chacun se renvoie encore la patate chaude.

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Le PSG accuse le clan Rabiot

Ainsi, les dirigeants italiens jugeraient finalement les exigences financières du PSG excessives. De son côté, le double champion de France conteste et fait savoir que ce serait la mère (et agent) de Rabiot qui tenterait de faire capoter l'affaire. Pour quelles raisons ? Cette dernière souhaiterait que son protégé aille jusqu'au terme de son contrat afin de partir librement, empêchant ainsi le PSG de toucher le moindre centime.

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Qui dit vrai dans cette histoire ? À quelques heures de la clôture du mercato, chaque partie tente sans doute de mettre la pression afin de préserver ses intérêts. Mais l'hypothèse d'un vrai faux départ est-elle réellement envisageable ? Interrogé hier en conférence de presse, Laurent Blanc avait indiqué qu'il s'en accommoderait. «En ce qui concerne le départ d’Adrien, il n’est pas acté encore. Pour l’instant, on ne peut rien affirmer. Quelque chose de cassé (s'il reste) ? On fera avec, ce n’est pas la première fois que ça arriverait.» Patience.

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