Le Paris FC négocie avec Jérémy Ménez !

Par Matthieu Margueritte
2 min.
Paris Jérémy Ménez @Maxppp

Et si le dernier de Ligue 2 réalisait l'un des plus beaux coups du mercato en France ? Le PFC est en effet entré en scène dans le dossier Jérémy Ménez.

Bon dernier du classement de Ligue 2 avec cinq défaites et un nul en six matches, le Paris FC ne désarme pas. Son président, Pierre Ferracci, que nous avions rencontré à la mi-août, nous avait d'ailleurs confié les hautes ambitions du club francilien. «Pour la première fois depuis cinq ans, nous n’avons pas d’encadrement de la masse salariale, ce qui veut dire que nos finances sont saines et qu’on peut voyager. Ce qui ne veut pas dire qu’on va faire des folies, simplement que l’on a les moyens de faire une belle équipe et d’être compétitifs. Il y a une course à l’armement assez phénoménale en ce moment. On a les moyens de faire une belle équipe».

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Le mercato étant terminé, le PFC n'a pas encore rencontré le succès escompté avec ses recrues estivales. Cependant, la formation de Jonathan Pitroipa pourrait voir débarquer un sacré renfort pour le moins inattendu. Le Parisien révèle en effet que la direction parisienne discute actuellement avec l'ancien joueur du Paris Saint-Germain Jérémy Ménez. Libre de tout contrat, le natif de Longjumeau peut s'engager avec le club français de son choix. Parti du Club América après avoir résilié un contrat courant jusqu'en décembre prochain, Ménez ne serait pas contre un challenge au PFC.

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Pas vraiment surprenant puisque son entourage nous avait confié qu'un retour en France était une possibilité pour le milieu offensif. Proposé à plusieurs clubs de Ligue 1, dont Nîmes (son nom a également été cité à l'OM pour remplacer Florian Thauvin), le joueur et son clan seraient réceptifs à l'intérêt parisien. Cinq ans après avoir quitté le PSG, Jérémy Ménez fera-t-il son retour dans le capitale ? Pour le moment, Le Parisien précise qu'un accord est encore loin d'avoir été trouvé, d'autant que Ménez devra consentir une sacrée baisse concernant ses prétentions salariales habituelles pour ne pas mettre le PFC dans le rouge.

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