Arsenal : Wilshere, une promotion à 3,2 M€

Avec le départ de Robin Van Persie l’été dernier, Arsenal se retrouve aujourd’hui avec un effectif privé de stars de renommée mondiale. Un handicap qui empêche aujourd’hui les Gunners de lutter au coude à coude avec les deux Manchester pour le titre. Mais s’il n’a plus de grosses têtes d’affiche, Arsène Wenger dispose tout de même de grands talents. Et Jack Wilshere en fait bien évidemment partie.

Longtemps blessé, le prodige anglais âgé de 20 ans a fait son grand retour à la compétition. Un come-back très attendu pour celui qui est considéré comme l’un des grands joueurs en devenir du football anglais. Et ça, Arsenal le sait parfaitement. En conférence de presse, Wenger a d’ailleurs confirmé que le club londonien souhaitait blinder sa pépite en prolongeant un contrat courant déjà jusqu’en 2015.

« Il a toujours été très attaché au club et j’espère qu’il continuera à le démontrer. Il n’y a qu’une manière de le faire, c’est de signer un contrat à long terme. Il lui reste deux ans et demi de contrat, ce qui est déjà très long. Mais nous construisons une équipe où nous avons plein de jeunes joueurs anglais ou britanniques tels que Gibbs, Chamberlain et Wilshere. Il a aussi Walcott et Ramsey. Nous voulons qu’ils aient des contrats longues durées. »

Dans ses colonnes, le Daily Mail révèle les dessous financiers de l’opération Wilshere. Ainsi, le tabloïd anglais nous apprend que le désir d’Arsène Wenger est de confier à moyen terme le brassard de capitaine à son nº 10. Une promotion qui serait accompagnée d’une revalorisation salariale qui se chiffrerait à hauteur de 62 000€/semaine, soit 248 000€/mois, soit 3,2 M€/an. Un revenu qui en ferait l’un des joueurs les mieux payés de l’effectif londonien (derrière l’Allemand Podolski et ses 111 000€ par semaine). Et visiblement, les négociations ne devraient pas trop trainer. « Ça fait dix ans que je suis dans ce club et réussir à me hisser de l’académie jusqu’à l’équipe première est une belle histoire. C’est un rêve. Je me sens ici comme à la maison. »