Steven N'Zonzi affole les cadors de Premier League

Le milieu de terrain français entame sa troisième saison en Espagne, du côté de Séville, où il est déjà un élément indispensable de la formation d'Eduardo Berizzo, comme ce fut le cas avec Jorge Sampaoli et Unai Emery. Didier Deschamps l'a d'ailleurs sélectionné pour la première fois avec les Bleus pour ces deux confrontations face au Pays de Galles et l'Allemagne. Le milieu sévillan a ainsi fait ses débuts face au Gallois vendredi, réalisant une entrée en jeu tout à fait correcte et étant même proche de faire trembler les filets adverses sur un corner.

« Je me suis toujours concentré sur mon travail en club, j’essaie de progresser. Comme je l’ai dit, il y a de très bons joueurs à mon poste, à partir de là, je ne peux pas être frustré. Je me concentre sur mon travail en club. Je pense que mon parcours m’a aidé. Les choses difficiles que j’ai connues dans la vie, comme mon départ à 20 ans à Blackburn, m’ont beaucoup appris et m’ont permis de progresser », expliquait-il lors de sa première conférence de presse. Et l'Angleterre, Steven N'Zonzi pourrait bientôt la retrouver...

Une clause abordable

Ainsi, selon le Mirror continue d'attirer les convoitises des meilleurs clubs britanniques, à savoir ici Arsenal, Manchester City et Manchester United. « On ne sait pas ce qui peut se passer. J'aime la Premier League, j'aime beaucoup ce championnat, c'est là-bas que j'ai commencé au haut niveau. J'ai eu de très bons moments là-bas mais je ne sais pas ce qui va se passer à l'avenir », confiait récemment le principal intéressé.

Des déclarations qui auraient justement fait tilt chez les clubs cités plus haut, qui devront de toutes manières mettre la main à la poche pour s'offrir le milieu de terrain, déjà tout proche de rejoindre la Juventus l'été dernier. Sa clause libératoire s'élève ainsi à 40 millions d'euros, un montant considérable mais largement à la portée des porte-feuilles anglais, et son contrat avec le club du sud de l'Espagne expire en juin 2020. Autant dire que du côté de Séville, on commence déjà à trembler...