Carlos Tévez confirme l'offre qui lui permettrait d'exploser les salaires de CR7 et Messi

La carrière d'un footballeur de haut niveau est faite de choix. Certains privilégieront à jamais le sportif, quand d'autres préféreront opter pour le côté financier. Carlos Tévez va devoir trancher. Arrivé sur le Vieux continent en 2006, l'avant-centre argentin avait choisi le sportif et surtout la famille en regagnant l'Argentine après la saison 2014-2015. Un choix honorable pour l'Apache, qui regagnait donc ses terres natales en rejoignant son club de cœur, Boca Juniors.

Et si tout portait à croire que l'intéressé terminerait sa carrière chez les Xeneizes, une offre arrivée il y a peu est venue redistribuer complètement les cartes. En effet, le Shanghai Shenhua s'est récemment présenté à la table des négociations, avec une proposition qui a de quoi donner le tournis. Un salaire annuel de 40 M€, deux fois supérieur à ceux de Cristiano Ronaldo et Lionel Messi : voilà ce qui attend l'ancien joueur de Manchester United s'il accepte de rallier l'Empire du Milieu.

Carlos Tévez hésite

Un montant pharaonique, dont certains doutent. Mais Tévez a de lui-même confirmé : « Je sais que l'offre chinoise existe, et j'en connais bien le montant », a-t-il reconnu face à la presse locale, avant de poursuivre : « Je pense que je peux accepter d'y aller, comme je peux tout simplement arrêter de jouer. Je ne sais pas. J'arrive à la fin d'une longue année, la tête saturée. Je pense que c'est le bon moment pour prendre un peu de recul et voir ce qu'il y a de mieux pour moi, ma famille, et le club ».

Dans le flou, l'international albiceleste de 32 ans (88 capes, 13 réalisations) préfère encore prendre son temps, et réfléchir à la suite : « Il s'agit d'une décision purement personnelle. Il ne s'agit pas de savoir ce que Boca ou les supporters peuvent me donner en plus, car l'amour que je ressens ici au quotidien est déjà énorme. C'est pour ça que je ne veux pas prendre de décisions trop rapides. Lorsque mon choix sera fait, je viendrai à nouveau m'asseoir devant vous », a d'ores et déjà prévenu l'Apache. À lui de faire le bon choix.