Ricardo Oliveira répond à la rumeur Barça

Par Alexis Pereira
2 min.
Santos Ricardo de Oliveira @Maxppp

Annoncé dans le viseur du FC Barcelone par la presse catalane, l'attaquant brésilien de Santos et de la Seleção Ricardo Oliveira a répondu au micro d'ESPN.

Une deuxième jeunesse. À 35 ans, Ricardo Oliveira réalise une saison pleine avec Santos. L'attaquant brésilien, auteur de 19 buts en 29 apparitions en Série A, a même fait son retour en Seleção, sous les ordres de Dunga, trouvant le chemin des filets face au Venezuela (3-1). Pour affronter l'Argentine et le Pérou début novembre (éliminatoires du Mondial 2018), le buteur sera encore de la partie. Pour couronner le tout, Mundo Deportivo a indiqué ce samedi que le FC Barcelone voyait en lui la fameuse doublure pour le poste d'avant-centre après lequel il court depuis si longtemps.

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Une information qui a clairement surpris l'international brésilien (13 sélections, 4 buts). Mieux, ce dernier, qui connaît bien la Liga après ses expériences passées à Valence, au Betis Séville et au Real Saragosse, a bien rigolé lorsqu'il a entendu la nouvelle. «Les supporters de Santos, mes partenaires et la direction de Santos et le club savent que ce n'est pas vrai. J'ai bien ri en voyant cette information, mais j'ai pris la précaution de publier un communiqué pour clarifier qu'il n'y a eu aucun contact ou autre», a-t-il lâché au micro du média brésilien ESPN.

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S'il est apparu flatté, le Paulista n'a pas franchement apprécié de voir que certaines personnes avec lesquelles il ne travaille pas ont utilisé son nom dans la presse catalane. «Premièrement, c'est une source que je ne connais pas du tout. Vous ne pouvez pas parler au nom de quelqu'un avec qui vous ne travaillez pas. Mais je comprends aussi que le football crée beaucoup d'opportunités et certaines personnes tentent d'en profiter d'une manière peu élégante, on peut résumer les choses comme ceci», a-t-il conclu. Qu'on se le dise, Ricardo Oliveira ne devrait donc pas être le futur Henrik Larsson du Barça... Tant mieux pour Santos et le Brésil.

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