Ces derniers jours, l'attaquant du Paris Saint-Germain Ezequiel Lavezzi est beaucoup cité dans la rubrique mercato. Aujourd'hui, c'est la Gazzetta dello Sport qui reparle d'un intérêt italien pour l'Argentin. Mais pas seulement.
Aujourd'hui, celui qui peut affirmer qu'Ezequiel Lavezzi sera un joueur du Paris Saint-Germain au terme de la saison 2014/2015 est un devin. Lié aux Rouge-et-Bleu jusqu'en 2016, Pocho suscite énormément d'interrogations au sujet de son futur. Un temps annoncé en discussions avec ses dirigeants en vue d'une prolongation, l'international albiceleste a ensuite été annoncé comme l'un des joueurs qui seront sacrifiés pour satisfaire les règles du fair-play financier et permettre ainsi à son compatriote Angel Di Maria de signer chez les doubles champions de France en titre.
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Une tendance renforcée par les dernières nouvelles venues d'Espagne indiquant qu'une rencontre entre les dirigeants parisiens et leurs homologues de l'Atlético Madrid avait eu lieu. Info ou intox ? Toujours est-il que Lavezzi ne manque pas de prétendants. Et ce vendredi, c'est au tour de la Gazzetta dello Sport d'en rajouter une couche. Le journal transalpin revient avec la rumeur d'un intérêt de la Juventus et du Milan AC. Rien de bien nouveau, si ce n'est quelques détails.
Le refrain du mal du pays
Ainsi, le quotidien rose nous apprend que la Juve avait un accord de principe avec le joueur, mais que la Vieille Dame n'avait pas cherché à accélérer dans ce dossier. Son retour de flamme ne serait dû qu'à l'arrivée de Massimiliano Allegri, coach qui le voulait ardemment du temps où il officiait au Milan AC. Allegri parti dans le Piémont, les Rossoneri n'ont pas abandonné cette piste pour autant. L'administrateur du club Adriano Galliani aurait même contacté le directeur général délégué du PSG, Jean-Claude Blanc, afin de tâter le terrain.
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Mais ce n'est pas tout ! Si les discussions entre les deux clubs n'ont pas avancé, la Gazzetta affirme que Pocho aurait toujours la nostalgie de l'Italie. Mieux, que le principal intéressé pourrait demander... à être prêté ! Si le refrain du mal du pays n'étonne plus personne, celui de la demande de prêt est assez original. Obligé de renflouer ses caisses pour recruter, Paris ne donnera jamais suite à une telle proposition. Encore faut-il qu'elle existe vraiment.
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