Vers un derby milanais pour Aly Cissokho !

Par Alexandre Pauwels
1 min.
Aly Cissokho @Maxppp

Alors qu'il devrait très certainement quitter Liverpool au terme de l'exercice, Aly Cissokho voit plusieurs clubs se manifester. Le latéral français se serait ainsi attiré les faveurs de clubs italiens, les grands rivaux que sont l'Inter et le Milan.

Prêté par Valence du côté de Liverpool, le latéral français Aly Cissokho ne devrait pas s’éterniser sur les bords de la Mersey. S’il nous assurait récemment ambitionner de rester en Red au-delà de cette saison – « j’ai toujours voulu jouer en Angleterre, c’est pour moi une grande opportunité que m’a offert Liverpool, je devrai donner le meilleur de moi-même pour ne rien regretter et rester en Angleterre » – la tendance voudrait que Liverpool ne lève pas l’option de 4 M€ dont il dispose, en dépit des bonnes prestations du joueur. La presse britannique l’assure depuis quelques semaines, aujourd’hui, c’est le média espagnol Plaza Deportiva, conforté par ces mêmes tabloïds, qui évoque ce qui s’apparente à un inéluctable départ.

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Cissokho retournerait dans cas à Valence cet été, pour un simple détour. Car il ne s’agirait que d’une escale dans la carrière de l’ancien Lyonnais, qui devra très probablement se trouver un nouveau club. Et dans ce cas de figure, l’Italie semble se dresser sur sa route. Lui qui avait déjà alimenté les rumeurs il y a peu en assistant à un match Napoli-Roma au San Paolo serait ainsi pisté… par les deux clubs milanais, l’Inter et le Milan AC.

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Le premier club cité se cherche en effet des latéraux – Sagna et Evra sont sur les tablettes nerazzurre – tandis que le second devra très certainement compenser un ou plusieurs départs à ce poste – Constant et Emanuelson sont annoncés partants. De belles opportunités de rebond pour Cissokho, la piste rossonera pouvant par ailleurs faire sourire : le latéral a en effet manqué de s’engager en faveur du Milan à l’été 2009, les médecins italiens ayant fait capoter le transfert en évoquant d’un problème aux dents. Peut-être n’était-ce là que partie remise…

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