Avant Zidane, Bordeaux a manqué Platini

Par Christophe Caster
1 min.

Considéré comme l'un des meilleurs joueurs français de tous les temps et actuel président de l’UEFA, Michel Platini est en ce moment sur le devant de la scène. Soit par le biais de déclarations vindicatives à l’égard d’Arsène Wenger ou soit par des révélations dithyrambiques envers les Girondins de Bordeaux.

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Dans un entretien accordé au quotidien Sud-Ouest, le triple Ballon d’Or France Football (1983, 84 et 85) stipule en premier lieu à propos de Laurent Blanc. « Laurent a fait une grande, grande première saison, mais il ne finira pas deuxième toute sa vie. Surtout, il a réussi à bien faire jouer son équipe. Si l'équipe joue bien et qu'elle gagne, un peu comme l'Espagne à l'Euro, moi, ça me va bien ».

L’ancien numéro 10 des Bleus déclare qu’à l’époque de la présidence de Claude Bez, il avait été contacté par le club aquitain. « Ça m'aurait intéressé parce que c'était une belle équipe, j'y aurais retrouvé mes coéquipiers de l'équipe de France. » Il ne l'a finalement jamais rejoint trop préoccupé à écrire « une autre histoire ». C'était pendant la période faste des années 80, où les Girondins entraînés par Aimé Jacquet sous la houlette de Giresse et Tigana dominaient le football français.

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