Le président de Porto explique comment il a forcé la main au PSG dans le dossier Vitinha

Par Max Franco Sanchez
2 min.
Vitinha avec le FC Porto @Maxppp

Dans un entretien, le président de Porto a raconté comment il a fait plier le Paris Saint-Germain pour Vitinha.

Vitinha est Parisien. Le milieu de terrain a quitté Porto et a rejoint le club de la capitale française contre 40 millions d'euros. Un transfert qui s'est fait plutôt rapidement, même si les Portugais ont un peu temporisé car ils exigeaient que le PSG paye la clause d'un coup, et non en plusieurs échéances comme le voulait le champion de France, et comme c'est généralement habituel. Mais au Portugal, beaucoup ont critiqué la direction de Porto après cette vente, et beaucoup ne croient pas les dirigeants.

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Dans un entretien accordé aux médias officiels du club, le président Pinto da Costa a tenu à faire une mise au point, expliquant comment il a forcé le PSG à payer la clause d'un coup. « Ce que j’ai dit quand nous avons parlé de Vitinha, c’est que nous avions une offre de 30 millions et que nous ne l’avons pas vendu, contre l’avis de certains qui pensaient que c’était un gros coup. J’ai dit que je ne vendrais que pour les 40 millions, tant que nous aurions l’argent tout de suite. L'opération Vitinha n’a été bouclée qu’à neuf heures du soir du dernier jour de juin », a d'abord lancé le dirigeant.

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Mendes a aidé

« Ensuite, la participation de l'agent Jorge Mendes était importante, parce qu’il avait de bonnes relations avec le Paris Saint-Germain et a aidé à les convaincre et leur a fait voir que je n’allais pas céder. Il leur a donné plusieurs exemples d’autres transferts, parce qu’ils pensaient que je bluffais, mais à neuf heures du soir, ils ont vu que c’était sérieux et l’affaire a été faite comme nous le voulions », a ajouté le boss de Porto.

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« Parce que quiconque veut un joueur du FC Porto sait déjà qu’il doit payer la clause en espèces », a tenu à préciser le patron du club du nord du Portugal. Le message est passé, alors que d'autres joueurs de Porto comme Otavio risquent aussi de partir ces prochaines semaines. Maintenant, plus qu'à profiter de l'international portugais sur nos pelouses françaises !

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