Info FM, OM : la piste d'un international ivoirien pour l'après-Nkoulou

Par Aurélien Léger-Moëc
2 min.
Olympique Marseille @Maxppp

L'été prochain, l'OM va perdre Nicolas Nkoulou, en fin de contrat. Pour succéder au Camerounais, le club phocéen multiplie les pistes. L'une d'elles mène à un international ivoirien.

Succéder à Nicolas Nkoulou. La tâche ne sera pas facile pour celui qui s'installera dans l'axe droit de la défense de l'OM la saison prochaine tant le Camerounais y faisait figure d'incontournable. Après 5 ans passés sur la Canebière, il a choisi de ne pas prolonger son contrat, et suscite l'intérêt de nombreuses formations en Europe (surtout de Valence). Pour les dirigeants olympiens, il faut préparer la succession, alors qu'on imagine mal une charnière titulaire Rolando-Rekik ou encore un retour glorieux de Doria vu son prêt décevant à Grenade.

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Selon nos informations, l'OM explore une piste qui mène au Slavia Prague. En effet, des recruteurs travaillant pour le compte du club phocéen ont observé à plusieurs reprises Simon Deli, défenseur central âgé de 24 ans, qui vit sa première saison en tant que titulaire avec le Slavia. Surtout, il s'est fait connaître en 2015 en étant appelé pour la première fois par Hervé Renard, alors sélectionneur, avec la Côte d'Ivoire, pour qui il a disputé deux rencontres.

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Grand (1m92) et costaud (85 kg), il est sous contrat jusqu'en 2018 avec le Sparta Prague, mais rêve d'évoluer en France. « Je suis un soldat, et c'est ma mentalité de me battre sur le terrain. Que ce soit en Angleterre, en Allemagne, en Espagne ou en France. C'est vrai que l'idéal serait la France, à cause de la langue et de la philosophie du pays, qui est la plus proche de l'Afrique. J'ai une préférence pour Paris et Marseille, bien qu'ils soient totalement différents, et surtout de grands rivaux », disait-il à Denik Sport début mars. Cela tombe bien, l'OM a bien un œil sur lui mais rien ne dit qu'il sera le choix final de la direction phocéenne, alors que de nombreux dossiers sont étudiés (Chedjou, Mexès, Luis Hernandez).

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