Arsène Wenger et l’IFAB vont révolutionner le football avec de nouvelles règles
Les règles du football subissent régulièrement de légères modifications et la saison 2023/2024 n’échappera pas à la règle. L’IFAB qui régit les lois de ce sport et dont Arsène Wenger est l’un des membres imminents ont décidé de faire quelques modifications qui ne manqueront pas de faire parler.

À l’instar des langues qui sont vivantes par les évolutions dans le dictionnaire choisi par les académiciens, le football est un sport en perpétuel changement grâce à l’évolution de ses règles. Ces modifications sont régies par l’IFAB (International Football Association Board), dont l’un des principaux membres est bien connu en France puisqu’il s’agit de l’ancien coach historique d’Arsenal, Arsène Wenger. L’objectif de ces réformes est d’apporter plus de clarification dans certaines situations qui ont débouché sur des zones grises et qui ont donc provoqué des controverses.
Ces mesures vont être appliquées à partir de maintenant et seront donc effectives lors de la prochaine saison. Elles sont au nombre de 8. Tout d’abord, les arbitres seront plus nombreux lors des rencontres. Tout du moins, ils seront deux de plus à donner leur avis. En général, lors des matches, il y a l’arbitre principal, les deux assistants sur les côtés et le quatrième. Les arbitres assistants de réserve qui n’intervenaient qu’en cas de blessure pourront participer en fournissant des informations au reste du corps arbitral.
Nouvelles mesures sur les tirs au but et les hors-jeu
L’IFAB a également décidé que le temps perdu lors des célébrations de buts sera désormais répercuté de manière régulière sur le temps additionnel des rencontres comme lors de la Coupe du monde 2022. Alors qu’avant, il était illégal de rentrer sur la pelouse pour les membres du staff, les remplaçants ou toute autre personne en dehors des 22 joueurs et du corps arbitral, cela va légèrement évoluer. Si un but est marqué et qu’une autre personne est sur le terrain à ce moment-là, le but ne sera refusé uniquement si cela a eu une interférence sur le jeu.

➡️ Website: https://t.co/1mL2GscECK
➡️ App: https://t.co/FDwVaYxJAR
➡️ PDF: https://t.co/WrrdHfLzGr
➡️ Law changes incl. videos: https://t.co/hqaRTjs2Z2
➡️ Printed book: https://t.co/eoCLstGFtc…

Au niveau des avertissements, il y a eu quelques changements également. Si une action illégale provient du banc de touche et que l’individu n’est pas identifié, désormais, c’est l’entraîneur qui sera sanctionné (si l’entraîneur est déjà suspendu, ce sera son adjoint ndlr). Pour ce qui est des séances de tirs au but, les cartons jaunes qui auront eu lieu lors des 120 minutes de la rencontre ne seront pas pris en compte. Un joueur averti recevant un second carton lors de la séance de tirs au but ne sera donc pas expulsé. Pour ce qui touche aux penalties, un défenseur ne sera expulsé que s’il empêche une action de but dans une situation où il était impossible pour lui d’avoir le ballon proprement.
Les tirs au but vont également évoluer pour les gardiens. Désormais, ils devront rester immobiles sur la ligne avant le tir et ne devront pas distraire les tireurs. Une décision qui avait d’ailleurs fait réagir Mike Maignan il y a quelques mois. «Nouvelles règles de l’IFAB pour les penalties en 2026 : Les gardiens devront être de dos au moment du tir. En cas d’arrêt, coup-franc indirect» avait ironiquement lâché le portier de l’équipe de France. Enfin, pour ce qui touche aux hors-jeu, une déviation qui permet à l’attaquant de récupérer le ballon ne sera considérée en position de hors-jeu seulement si le joueur en posture défensif ne pouvait pas contrôler la sphère sur l’action. De nombreux chamboulements certes légers, mais qui ne manqueront pas de faire parler.