Le marché des entraîneurs étant fermé, Jean-Guy Wallemme se retrouve libre, attendant patiemment qu'une proposition concrète et sérieuse s'offre à lui.
Le Racing Club de Lens, sous l'impulsion de l'investisseur venu d'Azerbaïdjan Hafiz Mammadov, pointe à la deuxième place du classement de Ligue 2, bien parti donc pour retrouver l'élite. Une situation qui ravit Jean-Guy Wallemme, ancienne figure emblématique des Sang-et-Or : « Ils sont dans les temps, mais la Ligue 2 est un championnat de longue haleine. L'arrivée d'un nouvel investisseur a permis au club de construire une équipe ambitieuse, sans compter le retour de Gervais Martel. Je pense que les dirigeants se donneront les moyens de jouer les premiers rôles en Ligue 1 le cas échéant ».
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Un rôle majeur et actif parmi l'élite, dont Wallemme est lui pour le moment loin, libre de tout contrat. Le technicien avait pourtant été nommé à la tête du club belge du White Star Bruxelles en juin, avant finalement de voir le club annoncé son renvoi en juillet. Mais que s'est-il passé exactement ? « Il y avait simplement une différence de points de vue sur la stratégie. Je ressens plus de la déception et de l'incompréhension, au niveau du timing notamment ».
Le tacticien attend donc que son heure arrive, démentant toutefois la rumeur qui l'avait momentanément envoyé à Chantilly : « Habitant Chantilly, il m'arrive d'aller au stade. Mais c'est une info totalement erronée. Le terrain me manque énormément, et j'aspire à retravailler dans un nouveau projet le plus vite possible. Je suis ouvert à tout challenge entre guillemets sérieux. J'ai eu des contacts à l'étranger notamment. Si le projet est ambitieux, peu importe le niveau, ma priorité étant de retrouver un équilibre de vie au quotidien ». Le message est passé.
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