Aimé Jacquet et la langue de Shakespeare...

Par Jonathan Sberro
1 min.

Fervent défenseur d'un Gérard Houllier de plus en plus critiqué depuis son départ de la DTN pour Aston Villa, Aimé Jacquet a souhaité apporté son soutien à celui dont il a été l'adjoint à la tête de l'équipe de France. Dans une interview accordée au Parisien, il a également évoqué l'un des gros points faibles des entraîneurs français : le mauvais maniement de la langue de Shakespeare. L'occasion de se laisser aller à une confidence sur l'un des regrets de sa carrière.

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« Notre grand défaut, c'est la langue. Moi, si j'avais su parler anglais, je serais parti. Quand je suis arrivé à la DTN, j'ai obligé les entraîneurs à pratiquer les langues car, avec les grands entraîneurs étrangers, j'étais malheureux. Ça vaut le coup d'aller en Angleterre. Là-bas, et contrairement à chez nous, l'entraîneur est le patron. Il décide de tout, Gérard me l'a souvent dit ». Et quoi de plus logique finalement que de voir un ancien professeur d'anglais reprendre les rênes d'un club de Premier League.

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