Real Madrid : retournement de situation dans l'imbroglio Zidane !

Par La Rédaction FM
1 min.
Real Madrid CF Zinédine Zidane @Maxppp

Soulagement pour ZInedine Zidane ! L'ancien meneur de jeu a été blanchi par le Tribunal Administratif du Sport Espagnol, et voit sa suspension de banc de touche d'une durée de trois mois être passée aux oubliettes.

« Quand j’ai terminé ma carrière de joueur, je ne voulais pas être entraîneur. J’ai d’abord pris du temps pour moi, pour ma famille. Pendant trois à quatre ans, j’ai coupé avec le foot. Mais comme je n’aime pas trop faire du business, voyager, je me suis dit qu’il fallait que je revienne sur le terrain faire ce que je sais faire de mieux, transmettre mon expérience interdit d'exercer pour trois mois ». Ce matin, dans les colonnes du Parisien, Zinedine Zidane évoquait son bonheur d'être aujourd’hui entraîneur, et ce en dépit des drôles de galères qu'il traverse.

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En effet, devenu entraîneur principale du Real Madrid Castilla après avoir pris place sur le banc de touche en qualité d'adjoint de Carlo Ancelotti en équipe première, le champion du monde 1998 s'est vu infliger une suspension de banc de touche pour trois mois. La raison ? Zidane dispose du diplôme d’entraîneur niveau 2 ne lui permettant pas d’exercer comme entraîneur en chef de la Castilla, mais seulement comme numéro deux, se retrouvant donc en infraction avec l’article 104.1 du Code disciplinaire de la RFEF.

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Dans le dur, Zizou obtenait néanmoins qu'un caractère suspensif soit appliqué à cette sanction, de sorte de pouvoir encore officier sur le banc en attendant le verdict du Tribunal Administratif du Sport Espagnol (TAD). L'instance vient d'ailleurs de rendre son verdict il y a quelques minutes, et celle-ci innocente complètement l'illustre numéro 10 des Bleus, autorisé ainsi à être l'entraîneur principal du Real Madrid Castilla, tout en continuant de passer ses diplômes dans nos contrées. Son second est lui aussi blanchi et la Casa Blanca échappe à toute amende. Tout est donc bien qui finit bien, comme souvent avec Zidane, à un Materazzi près...

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