OM, Vélodrome : les sérieuses menaces de Jacques-Henri Eyraud !

Par Max Franco Sanchez
2 min.
Olympique Marseille @Maxppp

Dans un entretien accordé à La Provence, le président de l'Olympique de Marseille s'est exprimé sur l'épineux dossier de la gestion du Vélodrome...

Comme c'est habituel à ce moment de l'année, la direction de l'Olympique de Marseille travaille probablement sur l'élaboration de l'effectif pour la saison prochaine. S'il ne devrait pas y avoir de gros chamboulement dans le vestiaire phocéen, certains renforts sont tout de même attendus. Mais à Marseille, il y a aussi un dossier que l'on veut rapidement régler : celui du Vélodrome. La gestion du stade est assurée par la société Arema, et le club souhaite la récupérer.

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Dans un entretien accordé à La Provence, le président de l'OM Jacques-Henri Eyraud s'est montré particulièrement agacé par ce dossier. « Il est clair que notre niveau d'ambition pour le projet que nous portons dépendra très clairement de notre capacité ou non à exploiter l'outil important et stratégique que représente l'Orange Vélodrome. (...) Nous n'attendrons pas 2020 pour réviser nos ambitions à la baisse si l'exploitation du stade ne nous est pas confiée », a-t-il ainsi menacé.

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Un nouveau stade pour l'OM ?

Et ce n'est pas tout, puisqu'en plus de menacer de revoir les ambitions du club à la baisse, il a même évoqué la possibilité de construire un nouveau stade : « il est certain que toutes les options sont sur la table, y compris celle de construire notre propre stade. Nous avons les moyens financiers de cette ambition-là. Nous pensons que ce serait dommage, compte tenu des atouts que représente le fait d'avoir un stade en coeur de ville. Mais il faudra se rendre à l'évidence ».

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Voilà qui est clair... Le président de l'Olympique de Marseille ne serait pas satisfait de la sono du stade, de son éclairage ou encore de la pelouse. Il l'avait d'ailleurs fait savoir vendredi après-midi sur les réseaux sociaux. Une façon de mettre la pression sur Arema, mais probablement aussi sur la ville de Marseille pour qu'elle intervienne dans le dossier. Voilà un feuilleton qui risque de marquer l'été du côté de la Canebière...

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