Actuellement en Algérie pour visiter les installations du NA Hussein-Dey, dont il connaît le président, Nicolas Anelka est annoncé en passe de signer. Mais les déclarations de l'attaquant aux médias algériens laissent entendre que rien n'est encore fait.

« Nicolas Anelka est arrivé aujourd’hui en Algérie et a même visité nos infrastructures sportives. Nous sommes en pleines négociations avec lui ». Hier, le président du club algérien NA Hussein-Dey, Mahfoud Ould Zemirli, confiait être en négociations avancées avec Nicolas Anelka. L'attaquant français, libre de tout contrat depuis la fin de son aventure indienne, était dit intéressé par la possibilité de s'offrir un dernier défi en Algérie.
Mais dans la pratique, rien n'est fait. Alors que le président du NAHD cherche à obtenir une dérogation auprès de la fédération qui lui permettrait de signer l'avant-centre, Anelka a comme jeté un froid sur le dossier, dans des propos relayés par Algérie 360°. « Je tiens à préciser que je suis ici à Alger pour une visite de courtoisie, sur invitation du président du NAHD, je n’ai absolument rien signé », a-t-il ainsi assuré, avant de confier que la piste algérienne était une simple possibilité.
« Je suis libre de tout engagement, tout est envisageable. Je le dis bien je suis en visite de courtoisie, mais du moment que je suis libre, j’étudierai bien toutes les possibilités, et le NAHD en est bien évidemment une. (...) À ce que je vois, le club est bien structuré, il dispose de très bonnes installations, un stade d’entraînement ainsi que de toutes les commodités, c’est vraiment un très bon petit complexe, c’est vraiment très intéressant », a conclu le Français. Rien n'est encore figé, Anelka veut se laisser du temps.
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