OM: Anigo joue l’apaisement
Fortement mis en cause lorsque Jean Fernandez avait quitté le club, José Anigo a tenu à se défendre et réfute toutes violences verbales exercées contre le nouvel entraîneur d'Auxerre:
"J'avais l'impression de lire des faits divers, d'être un délinquant. A l'école on demandait à ma fille si j'étais vraiment de la mafia. Ma femme est amie avec celle de Jean Fernandez. Comment imaginer que j'ai pu les menacer ?"
Dans le même temps, il en a profité pour revenir sur le différent qui l'a opposé Charles Lankar, médecin du club:"J'ai eu des mots et des gestes, mais je ne lui ai pas donné de coups."
Enfin, dans ce moment de vérité, le directeur sportif du club marseillais n'a pas éludé la question de ses amis, jugés parfois douteux:
"Je ne renie pas mes amis ou ma famille. Le préfet a été à l'écoute, sans animosité. Il m'a demandé de faire la part des choses. J'ai bien reçu le message."
Ces déclarations suffiront elles à dissiper les doutes et malentendus concernant José Anigo? Pour le moment, Jean Fernandez ne s'est pas exprimé sur les raisons de son départ.
Une déclaration qui pourrait valoir de l'or.
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