La nouvelle sortie hallucinante de Luis Rubiales sur Jennifer Hermoso

Par Samuel Zemour
2 min.
Luis Rubiales, le président de la "Real Federación Española de Fútbol" @Maxppp

Après l’annonce de sa démission de la RFEF, Luis Rubiales cherche toujours à obtenir justice pour l’affaire de son baiser forcé à Jenni Hermoso.

C’est une affaire qui continue encore de faire du bruit. Mis en cause après l’affaire du baiser forcé envers Jennifer Hermoso, après le sacre de l’Espagne lors du dernier Mondial féminin, Luis Rubiales avait été contraint d’annoncer sa démission dans une interview accordée au journaliste britannique Pierce Morgan. Alors que l’entretien complet sera diffusé ce mardi soir, un nouvel extrait a été dévoilé lundi en fin de journée et a provoqué une nouvelle polémique en Espagne après de nouvelles justifications étonnantes de la part de l’ex-président du football espagnol.

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Sûr de lui, Luis Rubiales estime d’abord «qu’il n’y a eu aucun mal, aucun contenu sexuel, aucune agression, rien de tout cela» lors de son geste envers Jenni Hermoso. «Pas d’abus ?», lui a demandé à nouveau le journaliste. «Bien sûr que non. Bien sûr que non. C’est un moment d’effusion et de bonheur»", a répondu Luis Rubiales, avant d’aller un peu plus loin dans ses explications afin de justifier son geste, qu’il ne juge pas déplacé.

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Luis Rubiales assure que la vérité éclatera

«La signification du baiser à Jenni Hermoso aurait été exactement la même que celui d’un baiser à l’une de mes filles (…) entre amis et famille, c’est très, très courant», a-t-il ajouté. Luis Rubiales a tout de même avoué qu’il aurait pu agir différemment et assure qu’il se devait d’agir de manière plus solennelle, plus froide et plus diplomatique, en précisant qu’il s’agissait «d’un moment très heureux, une célébration, un moment d’euphorie».

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Cependant, l’ex-homme du football espagnol veut continuer de prouver qu’il ne s’agit pas d’une agression et d’un geste forcé. «J’ai pleinement confiance dans le fait que la vérité éclatera et que tout ira bien. Regardez mon visage, je suis un bon gars», a-t-il conclu. Pour rappel, la footballeuse de 33 ans a décidé de porter plainte auprès du parquet général de l’État espagnol et Luis Rubiales s’expose à de lourdes peines, allant d’une amende à quatre ans de prison.

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