Hoarau en remet une couche sur l’enfer chinois

Par Matthieu Margueritte
1 min.

Parti au Dalian Aerbin en 2013, Guillaume Hoarau n'oubliera pas son expérience en Chine. Si tout n'a pas été noir, l'attaquant des Girondins de Bordeaux pense que, malgré le contrat en or dont il jouissait (4 M€/an, Ndlr), il a fallu faire preuve d'une grosse solidité mentale pour tenir.

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«Il faut être fort parce qu'il faut aussi vivre. L'entraînement, c'est une fois par jour. il faut que tu puisses faire ce que tu avais l'habitude de faire en Europe. Heureusement, mon cousin était là. Tout seul, j'aurais attaché une corde et j'aurais lancé un compte à rebours. Tout seul, c'est chaud. En famille, ça peut l'être aussi. Je ne sais pas si femme de footballeur c'est compatible là-bas. Il faut sortir, s'ouvrir, et dans la ville où tu es, il ne parlent pas anglais, c'est dur», a-t-il confié à France Football.

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