Suite au refus de Fabio Capello de prendre en main le club de la capitale, le PSG se trouve dos au mur à 11 jours de la reprise de l’entraînement.
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«La valse des non». La une de L’Équipe souligne cyniquement la faillite du PSG cet été. Depuis l’obtention du titre, le club est secoué par des évènements malheureusement imprévus pour la direction du club. Le désir de départ de Carlo Ancelotti a d’abord changé les plans et voilà que désormais, le PSG se fait recaler par toutes les cibles qu’il approche.
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À 11 jours de la reprise, le flou persiste, et s’est même accentué suite au refus hier de Fabio Capello, dont la venue n’aura finalement été imaginable que pendant quelques petites heures. Paris paye au prix fort aujourd’hui son manque d’anticipation dans le dossier Ancelotti et surtout des approches trop vagues avec les meilleurs entraîneurs. José Mourinho a bien été contacté, mais Paris n’a jamais fait le poids face à Chelsea. Quant à Wenger, il était illusoire de penser que ses bonnes relations avec le président Al-Khelaïfi allaient pouvoir le détourner de son contrat avec Arsenal (jusqu’en 2014).
Voilà donc Paris dos au mur, sans solution de repli évidente. Vers qui les dirigeants vont se tourner ? Roberto Mancini ? Roberto Di Matteo ? Ce dernier a ainsi été cité par un média russe hier comme l’une des nouvelles pistes envisagées. Selon L’Équipe, face à tous les refus essuyés, le club francilien pourrait finalement décider de confier les rênes à Leonardo, malgré sa lourde suspension de 9 mois et en attendant son appel étudié le 3 juillet. Ce serait Claude Makelele qui assurerait le relais sur le banc durant la suspension du Brésilien. Il y a quelques semaines encore, cette hypothèse était inenvisageable. Aujourd’hui, elle ressemble à l’ultime solution.
