Tirage Ligue des Champions : le PSG l'a aussi très mauvaise !

Par Matthieu Margueritte
2 min.
Nasser al-Khelaïfi et Leonardo assis dans les tribunes présidentielles du Parc des Princes @Maxppp

Suite à l'énorme couac de l'UEFA hier pendant le tirage au sort des huitièmes de finale de la Ligue des Champions, il n'y a pas que le Real Madrid qui peste. Le PSG n'est pas content non plus.

L’UEFA s’est couverte de honte toute seule. À force de vouloir créer des règles pour protéger les cadors lors des tirages au sort, l’instance dirigeante du football européen s’est sérieusement pris les pieds dans le tapis hier après-midi. Obligée de refaire le tirage au sort des huitièmes de finale, l’UEFA a fait des mécontents.

La suite après cette publicité

Le premier club a manifesté sa colère en interne puis devant les caméras a été le Real Madrid. Pour rappel, les Merengues avaient hérité de Benfica lors du premier tirage, avant de devoir finalement affronter le Paris Saint-Germain. Furieuse, la Casa Blanca a fait connaître son opinion à l’UEFA après avoir envoyé Emilio Butragueño sous les projecteurs.

À lire Nasser Al-Khelaïfi est fan d’Ousmane Dembélé

Le PSG est aussi perdant dans cette histoire

« Tout d’abord, dire que ç’a été surprenant, lamentable et ce qu’il s’est passé aujourd’hui est très difficile à comprendre, en tenant compte que des millions de supporters étaient dans l’attente de ce tirage au sort. Nous affrontons ce duel avec ambition, nous sommes conscients de ce que signifie cette compétition pour le club et ses supporters. » Mais les Madrilènes ne sont pas les seuls à râler. À Paris aussi ça jase sévère selon Le Parisien.

La suite après cette publicité

Les Rouge-et-Bleu devaient défier Manchester United, après avoir réussi à éviter des équipes telles que le Real Madrid, Liverpool ou le Bayern Munich. Au final, on aura droit à un remake du huitième de finale de la saison 2017/2018. Le quotidien révèle que la pilule a du mal à passer chez des Franciliens restés muets depuis l’annonce du choc face aux Espagnols. Même s’ils ne le diront jamais publiquement, les Parisiens étaient forcément plus favorables à l’idée de se mesurer à un MU en perte de vitesse qu’au leader de Liga qu’il n’a battu qu’une seule fois en six matches depuis le début de l’ère QSI.

La suite après cette publicité

Fil info

La suite après cette publicité