OM-OL : la préfète des Bouches-du-Rhône lâche ses vérités après les incidents

Par Noah Thouery
1 min.
L'Orange Vélodrome de l'OM @Maxppp

C’est une affaire d’État, ou presque. Et on comprend pourquoi quand on voit à quel point Fabio Grosso, notamment, a été blessé au visage. Les incidents survenus lors de l’avant-match entre l’Olympique de Marseille et l’Olympique Lyonnais ont remis en question la capacité des autorités à accueillir de tels événements. Pourtant, à en croire le procureur de Marseille, «aucun élément ne laisse penser à une défaillance». Même son de cloche pour la préfète des Bouches-du-Rhône, Frédérique Camilleri.

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«Tout ceci était anticipé, ce n’est pas la première fois que les bus sont visés et caillassés. Il y avait des policiers avec eux, la police a fait son travail d’interposition. Certains d’entre eux ont été blessés. La police est là pour contenir, pour anticiper, nous avions anticipé ces risques-là. Il y avait des policiers en escorte. Nous ne sommes pas totalement angéliques», raconte-t-elle au Parisien. La position est claire, alors que l’OM se défend aussi de son côté, en estimant que les incidents ont eu lieu à l’extérieur du Stade Vélodrome.

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