La phrase du jour de… Jean-Pierre Papin

Par Aristide Mamilo
1 min.

L'aventure du duo Jean-Pierre-Papin-Daniel Leclercq à la tête du Racing Club De Lens s'est traduite par un échec symbolisé par la relégation du club nordiste en Ligue 2.

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Au-delà de l'insuccès sportif du projet collectif, la relation entre les deux hommes aux visions du métier complètement en décalage, explique d'une certaine manière la raison pour laquelle Lens ne pouvait pas tirer son épingle du dans la course au maintien.

Il y a quelques jours, dans le cadre de l'émission France 2 Foot, celui dont la fonction officielle à Lens avait la dénomination de directeur technique, a dévoilé ce que tout le monde savait, à savoir que c'était lui le véritable entraîneur « C'est moi qui avais la responsabilité de trancher ».

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Ce matin dans le quotidien L'Équipe, JPP confirme cette thèse, en mettant un point d'orgue sur le désarroi qui l'a animé à partir de l'arrivée de Leclercq « J'ai été plein de bonne volonté quand il est arrivé en janvier. Aujourd'hui je me mords les doigts d'avoir accepté de travailler avec lui. Je regrette à un point que vous n'imaginez pas... J'ai été adjoint durant ces cinq derniers mois. Je ne faisais pas l'équipe, je n'étais pas l'entraîneur, je disais seulement deux mots à la causerie. Un jour où je faisais travailler les attaquants devant le but, je me suis fait reprendre de volée devant tout le monde ».

Le pire dans cette histoire c'est que JPP qui n'était pas finalement responsable des choix techniques de l'équipe, est finalement celui qui a payé le prix de l'échec, puisque Daniel Leclercq a été confirmé dans ses fonctions. Heureusement pour Lens qui s'est offert un nouvel entraîneur en la personne de Jean-Guy Wallemme, les choses devraient se passer différemment, sinon le pire serait à craindre...

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