Real Madrid : Xabi Alonso a trouvé des excuses pour expliquer le fiasco face au PSG
Pour ses grands débuts d’entraîneur de la Casa Blanca, Xabi Alonso a conclu ce Mondial des Clubs en recevant une véritable gifle par le PSG (0-4). Face à cette défaite, l’Espagnol a réagi avec calme.

Le Real Madrid et ses supporters fondaient de gros espoirs dans cette Coupe du Monde des Clubs. Après les échecs en Liga et en Ligue des Champions, le club merengue voulait absolument briller en remportant la toute nouvelle compétition de la FIFA et sauver sa saison 2024/2025 très décevante. Face au Paris Saint-Germain, en demi-finale, les champions d’Europe 2024 croisaient même les doigts pour que Kylian Mbappé, pour son retour dans le onze de départ, ait les crocs face à son ancien club.
Au final, Madrid a pris la marée. Terrassés par les Parisiens, inoffensifs et sans inspiration, les Madrilènes ont peut-être rendu leur plus mauvaise copie depuis plusieurs années. Un énorme fiasco pour Xabi Alonso. Arrivé à la tête du Real cet été, l’ancien milieu de terrain a bouclé de la pire des manières sa première grosse compétition avec les Merengues. Mais pour l’Espagnol, les deux premiers buts concédés sur de grosses erreurs défensives ont condamné ses ouailles.
«Le début du match a fait la différence»
« Le début du match a fait la différence. Nous voulions faire un match travaillé, on savait que c’était un rival difficile. Ça nous a mis en difficulté après les dix premières minutes. Ensuite, le PSG est à un bon niveau, il a son collectif depuis deux ans et nous depuis peu de temps. C’est un signal pour nous montrer ce qu’il nous reste à travailler. Il faut le prendre avec calme mais avec exigence. Évidemment ça fait mal », a-t-il confié au micro de DAZN, avant de poursuivre.
« Les deux premiers buts pris si tôt exigent plus d’efforts pour l’équipe. On ne pouvait pas trop se déséquilibrer non plus parce qu’ils sont forts en face, on l’a vu. Il y a beaucoup à analyser et à apprendre de la défaite d’aujourd’hui. Ce résultat arrive au bon moment pour savoir ce qu’il nous reste à améliorer face au projet plus consolidé du PSG. On est là depuis trois semaines dans un contexte de compétition, sans vraiment pouvoir s’entraîner. On sait où on en est, regarder vers là où on veut aller et nous y préparer. Dans quatre semaines on sera de retour ». Mais le retour s’annonce compliqué.
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