AS Monaco : Kevin Volland livre les secrets de la réussite monégasque

Par Tom Monegier
2 min.
Kevin Volland avec l'AS Monaco contre Rennes mi mai @Maxppp

Pour sa première saison à l'AS Monaco, Kevin Volland a été très intéressant. L'attaquant allemand est revenu sur sa belle saison, évoquant aussi la recette payante du club du Rocher.

Lors du dernier mercato estival, Kevin Volland avait fait le grand saut. Après une carrière en Allemagne, et plusieurs saisons passées au Bayer Leverkusen, l'attaquant allemand a signé en faveur de l'AS Monaco en septembre 2020 contre un chèque d'environ 11M€. Une équipe dans laquelle le joueur de 28 ans espérait dans un premier temps s'adapter. Mais le principal concerné a fait bien mieux. Souvent aligné en attaque avec le Français Wissam Ben Yedder, le numéro 31 du club du Rocher a marqué à 18 reprises, tout en délivrant 8 passes décisives, en 40 apparitions.

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Des performances intéressantes qui sont dues à un gros travail avec Niko Kovac. «Quand on sort de la jeunesse à 18 ans, on peut encore manger et faire ce qu'on veut en général. Vous êtes toujours en forme et pétillant. Mais désormais, à presque 29 ans, ça se voit un peu plus. Parce que j'ai été mis en forme et que nous avons travaillé si dur, tout est un peu plus facile pour moi», a lancé Kevin Volland à SportBild.

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«Ce n'était pas toujours une promenade de santé»

Un Volland dans une bonne passe et une formation de l'AS Monaco performante. Car en Ligue 1, le club de la Principauté a terminé à la troisième place et jouera la Ligue des Champions la saison prochaine. Et en Coupe de France, les Asémistes ont franchi la finale, perdue face au Paris Saint-Germain. Une saison réussie grâce à une abnégation de tout le groupe.

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«Nous avons énormément travaillé. Comme nous n'avons pas joué au niveau international (en C1 ou C3, ndlr), nous avons eu plus de temps et nous nous sommes entraînés plusieurs semaines comme dans une préparation. Tu le remarques juste. Nous avons répété beaucoup de choses tactiques, mais nous avons aussi travaillé très dur physiquement. Ce n'était pas toujours une promenade de santé, mais ça a fini par payer», a enchaîné l'Allemand qui a aussi évoqué son divorce avec le Bayer : «à un moment donné, ça ne collait plus.» Pour finir en beauté, il ne reste plus qu'à performé à l'Euro avec l'Allemagne.

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