PSG : Blanc envoie un message à Pastore

Par Matthieu Margueritte
2 min.
PSG Javier Matías Pastore @Maxppp

De retour sur les terrains de Ligue 1 après de nombreux mois d'absence, Javier Pastore va devoir cravacher s'il veut retrouver une place de titulaire.

Javier Pastore (26 ans) a retrouvé le sourire. Et surtout le plaisir de jouer. Absent des terrains depuis le 21 octobre dernier et la réception du Real Madrid en Ligue des Champions (0-0), le milieu argentin enchainait les pépins physiques. Touché aux adducteurs puis au mollet avant de devoir soigner une conjonctivite, Flaco n'a pas été épargné. Remis en selle peu après l'heure de jeu ce vendredi soir à l'occasion du match remporté contre Bastia (2-0), l'Argentin redevient une arme offensive à disposition de Laurent Blanc. Une bonne nouvelle pour l'intéressé, même si son entraîneur ne s'est pas vraiment enflammé à son sujet à l'issue du match.

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«Tout le monde a une carte à jouer, que ce soit Javier ou les autres. Mais il faut être apte à jouer, il faut avoir les conditions nécessaires pour jouer. Il faut être bon, ça ne suffit pas de jouer. Javier a eu une première partie de saison vraiment très difficile pour lui. Il est arrivé en retard en préparation (estivale) à cause de la finale de la Copa América. Après il a eu une multitude de blessures», a prévenu le Cévenol. Et ce n'est pas tout. Titulaire à 31 reprises la saison passée en championnat, l'international albiceleste a de fortes chances de ne pas pouvoir prétendre à un temps de jeu conséquent.

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«Il débute sa saison. il a fait un bon stage (au Qatar). Il est en train de mettre les bouchées doubles. Ça va être délicat. Il y a une équipe qui a fait un parcours très bon donc il faut qu'il s'accroche, les choses ne sont pas faciles. Pour lui, le plus important c'est de retrouver un bon état physique. A nous de faire en sorte qu'il soit dans les meilleures conditions pour les matches à venir.» Barré sur le côté de l'attaque par le duo Cavani-Di Maria, devancé au milieu par le trio Matuidi-Verratti-Motta, fortement concurrencé par un Rabiot au temps de jeu croissant : Javier Pastore sait qu'il aura du pain sur la planche !

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