Sirigu clame son amour pour le PSG et son désir de prolonger !

Par La Rédaction FM
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PSG Salvatore Sirigu @Maxppp

Salvatore Sirigu n'est pas le nom le plus ronflant de l'effectif pléthorique du PSG. Pour autant, le portier italien joint à sa discrétion la régularité adéquate. Dans une interview accordée à la Gazzetta dello Sport, il s'est livré sur bien des sujets, de son caractère à ses objectifs personnels. Avec un amour pour Paris en fil rouge.

On a tendance à flatter l'arsenal offensif du PSG. Et d'oublier que dans les bois, Salvatore Sirigu fait aussi un excellent travail. Dans l'ombre d'immenses stars, le portier rivalise avec les plus grands noms au niveau de la régularité dans ses performances. Il s'agit là, d'ailleurs, de son unique leitmotiv. La reconnaissance, les projecteurs, très peu pour lui. L'Italien le confie volontiers dans les colonnes de la Gazzetta dello Sport. Il n'est aucunement vexé de passer au second plan, notamment en Italie où les observateurs l'ont quelque peu perdu de vue. « Ça fait partie du jeu. Pour moi, seule compte la continuité des performances. Je trouve absurde qu'en Italie, chaque bon gardien soit comparé à Buffon. J'en ai compté au moins 30 » assure-t-il en premier lieu, avant de plaisanter au sujet de sa notoriété.

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« Ça m'est arrivé, que ce soit à Coverciano (centre d'entraînement de la Squadra Azzurra, ndlr) ou ailleurs dans le monde en tournée avec la Nazionale, que des supporters m'interpellent pour me dire : "Excuse moi, mais qui es-tu ? Où joues-tu ?" Ça me fait rire. La popularité ne m'obsède pas. Je préfère parler sur le terrain. » Et sur le terrain, Sirigu met tout le monde d'accord. S'il est derrière l’indétrônable Buffon en Nazionale, il est indiscutable au PSG, club où il effectue sa troisième saison. Un club où il se sent bien. Parmi les arrivants du projet QSI, le gardien a été l'un des premiers à s'exprimer dans la langue de Molière, signe d'une parfaite adaptation à son nouvel environnement.

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Sirigu va même plus loin, en assurant qu'il a trouvé à Paris « une seconde maison. Je me suis bien adapté, je parle le Français. Je vis à 10 minutes en voiture du centre d'entraînement. J'aime bien me balader au Trocadero, avec la tour Eiffel en fond. Les Français traitent les personnes connues comme si elles étaient normales, et respectent la vie privée. C'est difficile de ne pas se sentir bien à Paris. » La porte ouverte à des négociations autour d'une prolongation, lui qui arrive en fin de bail en 2015 ? Exactement. « Je voudrais prolonger à Paris, j'espère mériter cette prolongation. » Qu'il se rassure, le Sarde la mérite pleinement.

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